Pourquoi Roland Garros, aviateur devient le nom d’un tournoi de tennis ?

Publié le par Touring

L'aviation c'est cérébral, le tennis c'est plus physique...

L'aviation c'est cérébral, le tennis c'est plus physique...

Il faut se l'avouer, on s'est tous posé la question : Pourquoi Roland Garros comme nom pour un tournoi de tennis ? Certes, on connait tous l'histoire de l'aviateur mais quel est le lien avec le tennis, sachant qu'il était qu'un amateur occasionnel ?
 
Le tournoi de Roland Garros, est né d'une compétition entre Américains et Français. Tout commença quand les Français Brugnon, Borotra, Lacoste, Cochet (dit "les quatre mousquetaires"), remportèrent  la coupe Davis à Philadelphie en Septembre 1927. Voulant une revanche, les Américains décidèrent de créer un événement à la hauteur de la rencontre en Juillet 1928. C'est ainsi que la Ville de Paris apporta un important coup financier afin de construire un stade pouvant accueillir les matchs.

Par la suite, le stade français pose une condition: le stade devra porter le nom de l’un de ses membres, disparu 10 ans plus tôt, cinq semaines avant l’armistice. Cet éminent membre du Stade français n’est autre que Roland Garros, grand ami et condisciple d’HEC d’Émile Lesieur,qui l’avait parrainé lors de son adhésion au Stade français, où il s’était inscrit dans la section rugby.

C'est ainsi qu'est né le tournoi de Roland Garros !
Lifting monumental de Roland Garros

 

(Pour les aviateurs du Touring qui suivent aussi le tennis et cette superbe compétition des Internationaux de France ! )

Le chantier de Roland Garros en 10 photos
 22 février 2019, 11h06 |0
Paris (16e), le 21 février 2019. Le court central Philippe-Chatrier de Roland Garros est en plein chantier. Il est rénové et sera bientôt couvert d’un toit amovible. LP/Olivier Corsan
 
 
 
 

La rénovation du court de tennis se poursuit. Tout devrait être prêt pour accueillir le prochain tournoi, en mai prochain.

Le court central Philippe-Chatrier de Roland Garros est en pleine rénovation. Bientôt, un toit amovible le couvrira. L’utilisation du béton est limitée au profit d’une charpente métallique. Le toit reposera sur une superstructure dont la mise en place a déjà démarré. Six cents personnes y travaillent. Les premiers sièges ont été déjà posés dans la tribune Cochet. C’est désormais la course contre la montre dans la dernière ligne droite, pour être prêt en mai prochain à accueillir les joueurs et les fans de terre battue.

 

 
1. Vu de l’extérieur, le central de Roland Garros ressemble à un grand squelette
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LP/Olivier Corsan

 

 

2. Vu du haut des tribunes, le central est un trou béant au-dessus duquel un ballet de grues s’active

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LP/Olivier Corsan

 

 

3. Plus de 600 personnes sont présentes sur le chantier en ce moment

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LP/Olivier Corsan

 

 

4. Dans la tribune Cochet, les premiers sièges sont déjà installés

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LP/Olivier Corsan

 

 

5. Les grues déposent les sièges dans les tribunes du haut

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LP/Olivier Corsan

 

 

6. L’escalier qui conduit aux vestiaires est encore en chantier

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LP/Olivier Corsan

 

 

7. La fameuse porte par laquelle les joueurs pénètrent sur le central, en passant de l’ombre à la lumière

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LP/Olivier Corsan

 

 

8. La charpente métallique qui va accueillir le toit est déjà en cours d’installation

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LP/Olivier Corsan

 

 

9. Les abords du court sont propres mais encore en chantier

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LP/Olivier Corsan

 

 

10. Les vestiaires hommes sont toujours en chantier également

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LP/Olivier Corsan

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